L’approche juridique et sociologique proposée par les chercheur·euse·s d’ARESVI, pour ne laisser sous silence ni, d’une part, les délimitations du droit concernant les discriminations, ni, d’autre part, le vécu et le sentiment des expériences des discriminations, que parfois le droit ne peut embrasser, cette enquête sur le territoire bordelais permet de mettre en lumière les ruptures d’égalité que sont les discriminations, avec une approche quantitative (questionnaire ayant recueilli 801 réponses) et qualitative (focus-groups d’une quinzaine de personnes).
Les formes de racisme et de sexisme et de LGBTphobie sont déclarées comme les premières cause de discrimination, dans la rue et les espaces privés ainsi qu’au travail.
Pour en savoir plus, le rapport est accessible ici :