Johanna Dagorn et Arnaud Alessandrin, avec Éric Debarbieux et Olivia Gaillard proposent le concept d’oppression viriliste, soit « l’imposition d’une norme « virile » par le refus du féminin », et sa transmission dans le cadre scolaire pour penser le harcèlement à l’école.
Les violences sexistes ne sont pas forcément sexuelles mais toute violence peut être sexiste dès lors qu’elle cherche à asseoir la « loi du plus fort » en s’exerçant sur le faible. Et ce faible est assimilé au « féminin ». […] L’oppression viriliste c’est cette imposition d’une norme « virile » par le refus du féminin, la force, l’exclusion sociale, etc.
Éric Debarbieux, entretien avec François Jarraud.
Retrouvez le rapport ici rédigé par Johanna Dagorn, Arnaud Alessandrin, Éric Debarbieux et Olivia Gaillard ici :